En 1888, un ouvrier travaillant dans un puits de mine est retrouvé mort. L’homme souffrant d’épilepsie aurait fait une chute mortelle.
Trois ans plus tard, des lettres anonymes sont adressées au Parquet d’Issoire dénonçant un crime et non un accident comme constaté initialement. Un nom de suspect est même mis en pâture . On exhume le corps du malheureux ouvrier, le magistrat issoirien reprend l’enquête dont les résultats ne modifient en rien les constatations initiales.
Le corbeau insiste et s’adresse cette fois-ci au procureur général près la cour d’appel de Riom. Les enquêteurs riomois font le déplacement jusqu’à Anzat-le-Luguet et vont arriver au mêmes conclusions.
Mais discrètement, l’auteur de basses missives va être découvert … un notable du pays qui va faire l’objet d’un traitement particulier par la justice …
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