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lundi 23 mars 2020

INCENDIE AUX MINES DE LA COMBELLE (16 février 1932)

DANS LA SERIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


A cette époque, la production de charbon était d’une importance capitale pour le pays. Lorsque l’incendie d’est déclaré un matin de février 1932, l’ensemble des mineurs, des élus locaux et toutes les bonnes volontés ont uni leurs efforts pour combattre l’embrasement.

Pour limiter la réduction d’activité du site et ses conséquences, population, compagnies de sapeurs-pompiers gendarmerie ainsi que toutes les autres acteurs économiques (Mines de La Taupe, Compagnie du P.L.M, usine d’agglomérés de Fondary …) se sont engagés dans cette lutte…

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Bibliographie en fin d’article.

mardi 25 février 2020

LAVAUDIEU : LE CHRIST ĖCARTELĖ

DANS LA SERIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


Dans la période trouble post- révolutionnaire , les « sans culottes » rasèrent le toit du clocher de l’Abbaye et puis conscients de faire table rase du passé, ils firent disparaître tous les objets et meubles religieux. C’est ainsi qu’un crucifix datant du 13e siècle fut décroché et mis au rebus au fin fond d’un grenier.
Sorti de sa cachette pour des raisons utilitaires, il fut sauvé de l’anonymat par la grâce d’un antiquaire dont le chemin fut guidé jusqu’à Lavaudieu ….

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lundi 27 janvier 2020

L’ACTUALITĖ D’ISSOIRE ET DE SES ENVIRONS EN 1893

DANS LA SERIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


En cette fin du 19e siècle, la sous-préfecture du Puy-de-Dôme compte 6000 habitants. L’activité économique est essentiellement liée à l’agriculture entrainant dans son sillon une grande activité commerciale. Les Issoiriens et les habitants du secteur ne veulent surtout pas rater le marché hebdomadaire. Les foires de grande réputation attirent un flot de marchands ambulants et de maquignons. A ces occasions, le volume des transactions dépasse le millier de têtes de bétail. Cet entrain bénéficie aux activités commerciales de toutes natures et permet à la ville de se développer.
Tandis que la vie locale est bercée par les audiences (qui aujourd’hui prêtent à rire) du tribunal, la cité est bien lotie en matière de distractions ; le théâtre local reçoit régulièrement des troupes parisiennes de renom, cirques et ménageries font halte à Issoire régulièrement et de bien curieuses attractions n’hésitent pas à s’installer place de la Caserne. La jeunesse s’amuse et fréquente les bals du Café du Globe ou du Café Robert.
La traditionnelle course d’ânes du lendemain de la fête patronale va être remplacée par la toute première course cycliste. Bien que ne comptant que six valeureux participants et une non moins valeureuse participante, l’épreuve sera d’actualité dans la mémoire des issoiriens pendant des décennies. …

Des encarts publicitaires du moment illustrent l’article.

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lundi 16 décembre 2019

BOURNONCLE-SAINT-PIERRE – UNE NOCE BIEN SINGULIÈRE … (1885)

DANS LA SERIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


En ce mercredi d’avril 1885, tout Bournoncle – femmes, enfants, pas mal d’hommes et de garçons – s’était donné rendez-vous devant la mairie pour un événement qui ne s’était jamais vu dans le village : une noce qui arrivait en voiture et qui présageait la présence de « beau linge » …
L’élégance du futur ne faisait guère de doute – grande tenue, complet noir, gilet blanc et gants beurre frais - qui ne masquait en rien le chic de la future - associée à la robe de soie blanche à queue, long voile diaphane, avec sa couronne de fleurs d’oranger - parfaite harmonie qui donnait l’assurance d’un couple heureux d’attirer tous les regards…

Mais parmi le public, s’est introduit un rabat-joie armé de nuisibles intentions …

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lundi 25 novembre 2019

LE GRAND PRIX CYCLISTE DE LA VILLE D’ISSOIRE EN 1902

DANS LA SERIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


Epreuve cycliste emblématique de la Ville d’Issoire, le Grand Prix cycliste couru au lendemain de la fête patronale a toujours attiré la foule des grands jours dans la cité de Saint-Austremoine.
Si la première édition a eu lieu le 11 septembre 1894, pendant plus d’un siècle, les organisateurs de l’événement ont su rassembler les champions de toutes les époques. Du régional François Ondet (participant aux Tours de France des années 1929 et 1929) en passant par Louis Kosec (vainqueur à plusieurs reprises), le cantalien Louis Bergaud, Rudi Altig, Louison Bobet, Joseph Wouters, Tom Simpson, Cyril Guimard, Jean Pierre Danguillaume …etc…etc… sans oublier Romain Bardet vainqueur des éditions 2009 et 2011.
Retour sur l’épreuve du 15 septembre 1902 où les sportifs du moment « avalaient » les tours de boulevards avec un certain panache sur des machines d’un autre temps….
Un lien permet d’accéder au Palmarès de l’épreuve entre 1927 et 2012.



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lundi 28 octobre 2019

BRASSAC LES MINES - LE CONCOURS DES POMPES À INCENDIE (1907)

DANS LA SERIE « VIE LOCALE »


Initiée dans la moitié du 19e siècle, l’idée du Concours des Pompes à Incendie s’inspirait des exemples des concours de musique proposés l’institution orphéonique. Destiné à améliorer les compétences techniques des sapeurs, on soumettait différentes manœuvres au jugement comparé d’officiers expérimentés et on offrait des récompenses aux démonstrations les plus réussies, les promoteurs voulaient susciter l’émulation entre les compagnies pour en faire une source de perfectionnement et de modernisation.
De longs mois étaient nécessaires à la préparation des compagnies. Le jeu en valait la chandelle ; outre de se mettre en valeur devant un public admirateur, les concours permettaient aux lauréats de voyager pour « affronter » d’autres lauréats.
En ce jour de septembre 1907, 21 compagnies et 400 sapeurs venus d’horizons différents se sont retrouvés à Brassac-Les-Mines pour cette belle compétition. Les compagnies de La Chapelle-Gonthier, de Boissy-Saint-Léger, Corneille-en-Parisis (Seine et Oise) avaient envoyé leurs meilleurs représentants, tandis que les valeureux soldats du feu de la région avaient fait le déplacement : Le Breuil-sur-Couze, Nonette, Maringues, Blesle, Champeix, Sauxillanges, Lamontgie, Jumeaux etc… sans oublier la compagnie locale. … Récit de cette journée …

Des photos prises lors de l’événement illustrent cet article



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mardi 24 septembre 2019

LA COMPAGNIE DU P.L.M VOULAIT CONSTRUIRE UNE IMPORTANTE GARE DE TRIAGE DANS LE BRIVADOIS (1929)

DANS LA SĖRIE « MÉTIERS »


Dans les années 1920, les différentes compagnies ferroviaires du pays se livrent à une concurrence accrue, c’est à celle qui drainera sur ses lignes les marchandises à destination du marché parisien. Le trafic des vins du Languedoc est l’objet de puissants enjeux. La compagnie du Midi achemine bien les wagons chargés de vin, mais ne dispose pas de lignes ferroviaires ayant un débouché sur Paris. Elle doit, pour ses trains de la ligne Béziers-Neussargues, les remettre soit à la compagnie du Paris-Orléans (P.O) soit à la compagnie du Paris-Lyon à la Méditerranée (P.L.M).
Espérant attirer ces trafics sur ses propres lignes, les ingénieurs du P.L.M se lancent dans l’étude de faisabilité d’une grande gare de triage entre les gares d’Arvant et de Brioude (Haute-Loire) pour mieux absorber les trafics qu’elle convoite.

Histoire d’une aventure avortée …. dont certains éléments réapparaissent aujourd’hui ….



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