Dans les années 1920, les différentes compagnies ferroviaires du pays se livrent à une concurrence accrue, c’est à celle qui drainera sur ses lignes les marchandises à destination du marché parisien. Le trafic des vins du Languedoc est l’objet de puissants enjeux. La compagnie du Midi achemine bien les wagons chargés de vin, mais ne dispose pas de lignes ferroviaires ayant un débouché sur Paris. Elle doit, pour ses trains de la ligne Béziers-Neussargues, les remettre soit à la compagnie du Paris-Orléans (P.O) soit à la compagnie du Paris-Lyon à la Méditerranée (P.L.M).
Espérant attirer ces trafics sur ses propres lignes, les ingénieurs du P.L.M se lancent dans l’étude de faisabilité d’une grande gare de triage entre les gares d’Arvant et de Brioude (Haute-Loire) pour mieux absorber les trafics qu’elle convoite.
Histoire d’une aventure avortée …. dont certains éléments réapparaissent aujourd’hui ….
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