Rechercher dans ce blog

mardi 24 septembre 2019

LA COMPAGNIE DU P.L.M VOULAIT CONSTRUIRE UNE IMPORTANTE GARE DE TRIAGE DANS LE BRIVADOIS (1929)

DANS LA SĖRIE « MÉTIERS »


Dans les années 1920, les différentes compagnies ferroviaires du pays se livrent à une concurrence accrue, c’est à celle qui drainera sur ses lignes les marchandises à destination du marché parisien. Le trafic des vins du Languedoc est l’objet de puissants enjeux. La compagnie du Midi achemine bien les wagons chargés de vin, mais ne dispose pas de lignes ferroviaires ayant un débouché sur Paris. Elle doit, pour ses trains de la ligne Béziers-Neussargues, les remettre soit à la compagnie du Paris-Orléans (P.O) soit à la compagnie du Paris-Lyon à la Méditerranée (P.L.M).
Espérant attirer ces trafics sur ses propres lignes, les ingénieurs du P.L.M se lancent dans l’étude de faisabilité d’une grande gare de triage entre les gares d’Arvant et de Brioude (Haute-Loire) pour mieux absorber les trafics qu’elle convoite.

Histoire d’une aventure avortée …. dont certains éléments réapparaissent aujourd’hui ….



Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.

mardi 25 juin 2019

FORT CHABROL À CHASTENUEL (HAUTE-LOIRE)

DANS LA SĖRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


En ce début d’année 1928, Pierre Bernardon, modeste habitant de Chastenuel (commune de Jax en Haute-Loire) va sortir de l’anonymat et devenir « le chouchou » des gazettes du moment.
Que s’est-il passé ? Lassé par le manque de charmes de son village, notre héros que l’on appelait « Baptistou » décida d’aller faire une virée à …. Paris. Et oui, rien que ça !
Mais le sort voulu que « Baptistou » tomba malade et se retrouva hospitalisé à l’Hôpital Tenon. Les formalités de sortie de cet établissement furent vite réglées. « Baptistou » qui était « un peu serré » se fit passer pour un indigent, laissant le soin à la collectivité des contribuables de régler la note.

Mais la facture arriva jusqu’en mairie de Jax, et le premier magistrat soucieux des deniers de ses administrés ne s’en laissa pas compter. Et c’est là que débutent les déboires de notre valeureux et non moins têtu « Baptistou » ….

Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.

jeudi 23 mai 2019

DRAME DE LA JALOUSIE À JUMEAUX (1895)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & DÉLITS »


Des lettres anonymes reçues par un employé de la compagnie du P.L.M de la gare d’Arvant, vont complétement décomposer la vie de son jeune couple. La pensée d’être trompé va devenir obsessionnelle chez le cheminot. Dans cette ambiance de doutes persistants, les disputes se multiplient au sein du ménage au point que la jeune femme quitte à plusieurs reprises le domicile conjugal pour aller se réfugier chez son père qui vit en voisin.
L’épouse fait des efforts pour reprendre la vie commune, mais le pouvoir de nuisance des missives du corbeau fait son œuvre en seulement quelques mois ….

L’union célébrée le 23 avril 1895 trouvera une funeste issue le 3 septembre de la même année….

Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.

vendredi 26 avril 2019

VIVEROLS – LE FILS CONSERVAIT LE CADAVRE DE SON PÈRE DANS L’ALCOOL

DANS LA SĖRIE « VIE QUOTIDIENNE »


Avant de mourir, Cumin-Isidore Granet avait fait part de ses dernières volontés à son fils Hector. « Tu me mettras dans un cercueil d’alcool et tu viendras me voir régulièrement ». C’est ainsi que fidèle à la parole paternelle, Hector Granet plaça la dépouille de son père dans une sorte de cuve en ciment, qu'il acheva ensuite, de remplir avec de l'alcool.
Pour héberger ce curieux tombeau, un « mausolée » fut construit près du cimetière auquel Hector y associa un musée hétéroclite. Peu banal qu’il soit, l’événement pris de l’ampleur au point que les visiteurs se pressaient, parfois de fort loin, pour découvrir les bienfaits de cette la lotion posthume . Un hublot spécialement aménagé permettait à chacun de constater la « bonne mine » du défunt.

Le malicieux Hector, confirmait que son père n’avait jamais gouté un verre d’alcool et qu’une fois mort, il pouvait bien se permettre une petite douceur ! …

Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.

mercredi 27 mars 2019

FAUSSE MONNAIE À ISSOIRE (1889)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & DÉLITS »


« Une grave affaire - Arrestation d’une bande de faux-monnayeurs » titrait en décembre 1889 Le Moniteur du Puy-de-Dôme.
Le journal faisait de cette affaire l’information majeure de son actualité locale en y consacrant un article quotidiennement pendant quatre jours. L’écho médiatique de cette escroquerie avait grandement alimenté les conversations d’auberges et s’était répandu dans toute la région.

De plus, dans l’esprit des Issoiriens était toujours présente l’agression mortelle survenue au tribunal le 20 septembre précèdent…

Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.

lundi 25 février 2019

SIAUGUES-SAINT-ROMAIN – FAUX MÉDECIN MAIS VÉRITABLE ESCROC (1928)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & DÉLITS »


En 1928, les habitants de Siaugues-Saint-Romain (aujourd’hui Siaugues-Sainte-Marie) cherchaient en vain un médecin, et voilà qu’un candidat leur tombe du ciel.
L’homme est affable et bien vite les patients affluent à son cabinet.
La confiance règne, et très rapidement, le « médecin » va profiter de ces effusions pour mettre à profit ses instincts naturels d’arnaqueur.

Compte-tenu de ses antécédents, notre médecin raté va user de ses véritables talents que sont la filouterie et l’indélicatesse….

Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.

lundi 28 janvier 2019

SAINTE-FLORINE - LA GRÈVE DES BOULANGERS (1903)

DANS LA SĖRIE « QUERELLES POLITIQUES & RELIGIEUSES »


A la fin 1902, les habitants de Sainte-Florine, en majorité des mineurs, sont particulièrement touchés par la fermeture définitive de la mine de charbon de Bouxhors. Les 3200 résidents vont se trouver en mars 1903, malgré eux, les victimes d’une lutte politico-corporative opposant la municipalité socialiste et les boulangers de la localité.
C’est une ambiance délétère qui règne dans la localité. Forte des décisions nationales, la municipalité veut éliminer du champ public les Congrégations Religieuses et deux camps s’affrontent. N’a-t-on pas interdit aux prêtres de porter la soutane sur la voie publique ?
Des pétitions circulent sous le manteau et chacun s’affronte par communiqués de presse...

Lire l'article...
Bibliographie en fin d’article.