Au début de l’année 1893, un plâtrier prénommé Jean Jules fait un héritage. Au lieu de rester discret, notre bonhomme a décidé de passer du bon temps. Accompagné de « bons amis », il prend la direction de Clermont-Ferrand.
Retour, deux jours plus tard, à Issoire, Jean Jules remet le couvert alors que le cercle d’amis s’est bien agrandi … On s’installe dans un cabaret de la route de Perrier et la fiesta va encore durer.
Après deux ou trois jours de libations, la fatigue et peut être la lassitude se font sentir. Jean Jules va quitter, tant bien que mal, l’établissement .
Sur le chemin du retour à une vie moins agitée, Jean Jules tombe sur un ami « qui ne lui veut que du bien.. » Hélas, trois fois hélas …
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