En décembre 1917, la Mère Supérieure de l’Hospice de Brioude reçoit un courrier anonyme lui annonçant le décès d’un de ses pensionnaires à qui elle avait permis de passer quelques jours dans sa famille.
L’affaire est plus que troublante car l’intéressé n’a jamais fait part de funestes intentions, bien au contraire, il est connu pour son en train et sa pétulance.
Les autorités sont informées et le malheureux est retrouvé pendu dans son maison de Lorlanges…
Lire l'article...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire