Nous sommes à Brassac en Auvergne et au matin du 16 août 1779 la rumeur court de maisons en maisons ; Etienne Merle, vitrier de son état, a été retrouvé assassiné.
Bien vite on quémande les officiers de justice.
Le même jour, la justice se déplace et constate que veuve, fils et servante de la victime ont disparu.
A la maison du défunt, les portes sont ouvertes et la présence de nombreuses traces de sang sont répandues de ci de là tant dans la chambre à coucher qu’autour du lit . Sans aucun doute, un crime a bien été commis.
Les voisins affirment que la veuve Merle, son fils et leur servante Elisabeth Phélut avaient passé les nuits précédentes dans la maison du mort.
Bien vite, on arrête Charlotte Paix épouse Merle, son fils et la domestique.
On se transporte sur le lieu de la découverte du cadavre. Deux chirurgiens requis en la circonstance pour examiner la victime déclarent « que le défunt avait reçu quelques coups de couteau, avait été frappé par un instrument contendant, et que finalement il était mort étranglé »....
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