ANZAT-LE-LUGUET : MARIÉS, DÉMARIÉS ET REMARIÉS (1875)

DANS LA SÉRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »

Les liens du mariage ne sont pas aussi indissolubles que cela ! C’est une mésaventure survenue à un couple de gens amoureux demeurant à Anzat-le-Luguet (Puy-de-Dôme) en ces temps de l’an 1874.
La formule rituelle « je vous déclare unis par les liens du mariage » prononcée par « l’officier d’état civil » ne fut que d’une durée bien éphémère… Et pourtant de la mairie à l'église, de l'église au dîner et du dîner je ne sais où... on s'amusa beaucoup et l'on rit de même. Enfin, un bonheur de quelques jours, quand on voudrait qu'il ne finît point….
Mais les juges du Tribunal Civil d’Issoire ne l’entendirent pas de cette oreille ….

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Bibliographie en fin d’article.

III - D’ARVANT À LANGEAC ET PLUS … AU COEUR DE LA VIE FERROVIAIRE DE LA FIN DU 19e SIÈCLE (1881-1890)

DANS LA SÉRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »

Le chemin de fer est entré dans le quotidien des habitants du pays. C’est l’essor des localités de taille moyenne. Pour en assurer leur ravitaillement, le train achemine des denrées diverses pour être vendues dans des commerces qui grandissent.
Une partie de la production d’eau minérale de la source de Prades, dont les vertus thérapeutiques sont reconnues par la Médecine, est distribuée dans plusieurs régions de France . Il s’en suit un engouement pour le tourisme du Haut Allier patronné par le Club alpin.
« Les trains du plaisir » sont mis en circulation pour permettre aux provinciaux de se rendre l’Exposition Universelle de Paris de 1889.
« L’Auvergnat de Paris », un hebdomadaire fondé le 14 juillet 1882 par Louis Bonnet, va fédérer les émigrés auvergnats de Paris autour d’une presse générale mêlant politique, littérature, ou même faits-divers sous la plume d’auvergnats célèbres, comme Jules Vallès. Ce média va être le promoteur du voyage en chemin de fer vers l’Auvergne.

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Bibliographie en fin d’article.

BRIOUDE : LE SEAU DU PROCUREUR (1911)

DANS LA SÉRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »

Au soir du 14 juillet, vers les 11 heures du soir une maison est en feu dans le quartier des Olliers. Les flonflons de la fête nationale s’interrompent. Les pompiers aidés par la foule présente s’évertuent à éteindre l’incendie.
Dans la foule, un homme seul se tient en dehors de la solidarité collective, croisant les bras et contemplant les choses de haut …

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Bibliographie en fin d’article.

II - D’ARVANT À LANGEAC ET PLUS … CHRONIQUE FERROVIAIRE DE de 1871 A 1880

DANS LA SÉRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »

Si le chemin de fer arrive au Puy en mai 1866 depuis Saint-Etienne, on a eu bien du mal à réaliser la jonction du Puy jusqu’à rejoindre la ligne de Brioude à Langeac. Des désaccords sur l’itinéraire et la guerre de 1870 contre la Prusse n’ont pas été des facteurs favorables à la réalisation de cette structure.

De leur côté, les élus départementaux recherchent des solutions pour créer les chemins et routes nécessaires à l'accès aux gares dont la construction est en cours. C'est ainsi que vont apparaître dans le paysage altiligérien les gares d'Aurac-Lafayette, Rougeac-Chavaniac, Lachaud-Curmilhac, Fix-Saint-Geneys, Darsac, Lissac, Saint-Vidal et Borne....

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Dans la micro-histoire de cette ligne de chemin de fer, rappelons-nous qu’en 1957, le facteur de Chavaniac-Lafayette, Abel Charbonnier, a reçu un accueil triomphal en gare de Rougeac-Chavaniac lors de son retour des Etats Unis d’Amérique.

Pour lire ou relire l'article : Le facteur de Chavaniac-Lafayette à New-York

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DE TATAOUINE À ISSOIRE, LE CAMBRIOLAGE DE LA BIJOUTERIE BOUSQUET (1920)

DANS LA SÉRIE « CRIMES & DÉLITS »

Si l’expression populaire « Aller à Tataouine » signifie, aujourd’hui, d’aller se perdre au bout du monde, à contrario, les deux comparses reconnus pour avoir cambriolé la bijouterie Bousquet à Issoire en 1920, étaient de retour du bagne de Tataouine.
Forts des « expériences » acquises auprès de gens peu recommandables lors de ce séjour obligatoire et forcé, les deux malfrats vont donner bien du fil à retordre aux gendarmes et policiers de l’époque qui tentaient de leur mettre le grappin. Et ce ne fut pas la seule des difficultés …
Retour sur le banditisme de l’entre-deux guerres qui disposait, entre autres, des moyens de déplacement sophistiqués qui n’étaient pas à la portée de tous, à savoir l’automobile ….
Et Issoire, comme d’autres villes, était la cible de bandes qui opéraient loin de leurs bases

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Bibliographie en fin d’article.

I - D’ARVANT À LANGEAC ET AILLEURS – CHRONIQUE FERROVIAIRE DE 1857 À 1870

DANS LA SÉRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »

En 1856, le train pénètre en Haute-Loire par le nord- ouest et la compagnie ferroviaire de l’époque prend d’abord ses aises sur les territoires des communes de Bournoncle Saint Pierre et Vergongheon.
A partir de ce pont d’ancrage qui va être dénommé Arvant , des projets ficelés nationalement vont prendre forme pendant plus de 15 ans. L’ambition première est de réunir les bassins miniers de Brassac Les Mines, Decazeville et Saint Etienne.
La poursuite du développement du rail se déroule au sud en direction de Brioude puis Langeac, puis Langogne. Du côté de Saint Etienne, les travaux vont s’engager pour parvenir au Puy et atteindre la section d’Arvant à Langeac.
Côté ouest, l’objectif d’atteindre le département du Cantal va se réaliser peu à peu .

Ce mode de transport tant attendu va révolutionner la vie de nos anciens….

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LA QUIÉTUDE DE MAREUGHEOL MISE À MAL , LA BAGARRE FUT PRESQUE GÉNÉRALE (1887)

DANS LA SÉRIE « VIE QUOTIDIENNE & HISTOIRE LOCALE »


En cette fin du 19e siècle, le bourg de Mareugheol vivait dans une certaine sérénité et tout allait pour le mieux du monde.

Un soir de février 1887, deux énergumènes bien décidés à chercher querelle entrent dans le cabaret du village. L’ ambiance est conviviale, et les deux lascars vont s’en prendre d’abord, à leur grand tort, à un forgeron qui n’était pas un maladroit …

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Bibliographie en fin d’article.