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mercredi 27 mars 2019

FAUSSE MONNAIE À ISSOIRE (1889)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & DÉLITS »


« Une grave affaire - Arrestation d’une bande de faux-monnayeurs » titrait en décembre 1889 Le Moniteur du Puy-de-Dôme.
Le journal faisait de cette affaire l’information majeure de son actualité locale en y consacrant un article quotidiennement pendant quatre jours. L’écho médiatique de cette escroquerie avait grandement alimenté les conversations d’auberges et s’était répandu dans toute la région.

De plus, dans l’esprit des Issoiriens était toujours présente l’agression mortelle survenue au tribunal le 20 septembre précèdent…

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Bibliographie en fin d’article.

lundi 25 février 2019

SIAUGUES-SAINT-ROMAIN – FAUX MÉDECIN MAIS VÉRITABLE ESCROC (1928)

DANS LA SĖRIE « CRIMES & DÉLITS »


En 1928, les habitants de Siaugues-Saint-Romain (aujourd’hui Siaugues-Sainte-Marie) cherchaient en vain un médecin, et voilà qu’un candidat leur tombe du ciel.
L’homme est affable et bien vite les patients affluent à son cabinet.
La confiance règne, et très rapidement, le « médecin » va profiter de ces effusions pour mettre à profit ses instincts naturels d’arnaqueur.

Compte-tenu de ses antécédents, notre médecin raté va user de ses véritables talents que sont la filouterie et l’indélicatesse….

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lundi 28 janvier 2019

SAINTE-FLORINE - LA GRÈVE DES BOULANGERS (1903)

DANS LA SĖRIE « QUERELLES POLITIQUES & RELIGIEUSES »


A la fin 1902, les habitants de Sainte-Florine, en majorité des mineurs, sont particulièrement touchés par la fermeture définitive de la mine de charbon de Bouxhors. Les 3200 résidents vont se trouver en mars 1903, malgré eux, les victimes d’une lutte politico-corporative opposant la municipalité socialiste et les boulangers de la localité.
C’est une ambiance délétère qui règne dans la localité. Forte des décisions nationales, la municipalité veut éliminer du champ public les Congrégations Religieuses et deux camps s’affrontent. N’a-t-on pas interdit aux prêtres de porter la soutane sur la voie publique ?
Des pétitions circulent sous le manteau et chacun s’affronte par communiqués de presse...

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vendredi 28 décembre 2018

ANZAT-LE-LUGUET (1902) - TRAQUENARD DANS UNE AUBERGE

DANS LA SĖRIE « CRIMES & DELITS »


Nous sommes au début de décembre 1902 et l’hiver commence à faire sentir ses effets . Là-haut, à Anzat-Le-Luguet situé à plus de 1100 mètres d’altitude , le village a pris ses quartiers d’hiver.
Un colporteur originaire de l’Isère passe la nuit dans une auberge où il a ses habitudes et bien décidé à reprendre sa route. Passant devant un autre établissement du bourg, il a la mauvaise idée de s’y arrêter. Installé à une table, il lie conversation avec deux clients. De fil en aiguille, l’homme affable décide de déjeuner sur place et invite ses deux nouveaux compagnons à partager son repas .
La servante des lieux va acheter une poule destinée aux agapes. Le trio devient alors un quatuor avec la servante. Dans sa générosité, le colporteur invite également les propriétaires de l’auberge.
De discussions en discussions, se sentant fatigué, le colporteur décide de prendre un peu de repos en louant une chambre … Un guet-apens lui est tendu ….

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jeudi 29 novembre 2018

VERGONGHEON - LES INSTALLATIONS DE LA MINE DE LA TAUPE (1932)

DANS LA SĖRIE « METIERS »




La légende raconte qu’en 1774, dans les bois de Bergoide (Paroisse de Vergongheon), le travail d’une taupe a fait jaillir des fragments de houille. Aussitôt, les propriétaires des lieux, la famille du Croc de Brassac s’empresse d’exploiter le filon en le confiant au sieur Feuillant. Un puits y fut creusé et la mine reçoit le nom de l’animal qui l'aurait découverte.

A la fin de la Grande Guerre, la mine de la Taupe est la propriété de la Société des Houillères de la Haute-Loire. Les actionnaires se lancent dans d’importants travaux de modernisation des puits en y construisant notamment une centrale électrique thermique capable d’alimenter toutes les installations nécessaires à l’extraction du charbon (Station de pompage, ateliers, magasins, scierie, aération des puits, …).

Des clichés d’époque illustrent cette page d’histoire du Bassin Minier où se sont conjuguées aventures humaine et industrielle ….

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lundi 22 octobre 2018

CHRONIQUE DE LA VIE QUOTIDIENNE EN BRIVADOIS (1897)



DANS LA SĖRIE « VIE QUOTIDIENNE »


En cette fin de siècle, la vie quotidienne des gens est agrémentée de faits divers et de querelles locales. De son côté, la justice met en prison pour des délits d’adultère, de vagabondage … , mais tout le monde met un point d’honneur à organiser des festivités où l’on s’amuse sans soucis et qui se terminent devant bon banquet …

A Paulhaguet dans l’été 1897, on a organisé une course « vélocipédique » de 33 kilomètres et le vainqueur a touché une prime de 100 francs !

A Sainte-Florine, l’eau est vendue aux habitants un sou la cruche , tandis que les gens de Fontannes traversent l’Allier avec le bac …. Brioude rêve d’avoir sa garnison … Autres joies et satisfactions, autres embuches, autres inconvénients de la rudesse de l’époque…très très loin de la modernité du 21e siècle.



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jeudi 20 septembre 2018

L’INCENDIE DU CHÂTEAU DE RANDAN (1925)



DANS LA SĖRIE « ACCIDENTS, CATASTROPHES & CALAMITÉS »


En 1821, Adélaïde d’Orléans et son frère le futur roi Louis Philippe deviennent propriétaires du château de Randan. C’est une période faste qui s’annonce et qui court jusqu’à la révolution de 1848. Cet évènement provoque l’exil du roi des Français et de tous les aspirants au trône de France.

En 1894, à la mort du Comte de Paris, prétendant au trône , son épouse quitte l’Angleterre et revient en France et plus particulièrement à Randan pour reprendre en charge a propriété auvergnate.

A son décès, c’est son fils Ferdinand d’Orléans, Duc de Montpensier, qui hérite du domaine.

Le Duc de Montpensier épouse en 1921 Marie Isabelle Gonzales de Olaneta native de Madrid.

En janvier 1924, Ferdinand d’Orléans décède au château, son épouse devient son héritière et quitte Randan pour l’Espagne.

De retour à Randan le 23 juillet 1925, la Duchesse de Montpensier et sa suite s’installent au château.

Deux jours plus tard, la bâtisse est détruite par un incendie… Elle ne sera jamais reconstruite…

Récit de ce fait divers régional et vicissitudes d’un héritage dont les bénéficiaires sont établis en Espagne.

Des liens ont été placés pour accéder à la généalogie des acteurs de cette période de l’histoire



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